Assurance vie

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Épargner et transmettre son patrimoine grâce à l’assurance-vie

Particulièrement prisée par les Français, l’assurance-vie permet d’investir à moyen et long terme pour financer vos projets. Principal atout, vous restez maître du temps, car ce produit d’épargne permet de se constituer un capital qui reste disponible à tout moment !

Ouverte sans condition d’âge ni de montant minimum investi, sans obligation de versement, à retraits libres, l’assurance-vie vous permet d’accéder à tous les types de supports d’investissement (fonds garanti, actions, obligations, immobilier) avec une seule solution d’épargne.

Vous pouvez ainsi constituer à votre rythme, selon votre sensibilité aux risques, un capital qui bénéficiera d’une fiscalité avantageuse tant lors d’un retrait qu’à la transmission.

Pourquoi choisir l’assurance vie pour épargner ?

Ouverte sans condition d’âge ni de montant minimum investi, sans obligation de versement, à retraits libres, l’assurance vie vous permet d’accéder à tous les types de support d’investissement (placements très peu risqués, unités de compte, fonds garanti, SICAV, actions, obligations, immobilier) avec une seule solution d’épargne. Vous pourrez ainsi constituer à votre rythme, selon votre sensibilité aux risques, un capital qui ne subira pas de charge fiscale immédiate sur les gains (hors prélèvements sociaux), tant que vous ne retirez pas votre épargne ; à la différence des autres produits d’épargne fiscalisables.

Il vous est aussi possible de retirer votre épargne sous forme de rente (mensuelle ou viagère), à votre convenance et avec les mêmes avantages !

Pour sa fiscalité avantageuse sur les gains

Ce plan d’épargne offre le choix, durant toute la vie du contrat, du mode d’imposition entre un prélèvement forfaitaire unique et l’imposition sur le revenu selon votre tranche marginale d’imposition. À partir de la 8ème année de votre contrat, lorsque vous effectuez un retrait (rachat partiel) ou fermez votre contrat (rachat total), vos plus-values sont exonérées d’impôt sur le revenu dans la limite de 4 600 €/an pour une personne seule et 9 200 € pour un couple soumis à imposition commune. Au-delà de ces montants, le taux de prélèvement est de 7,5 % pour la part des plus-values issue des primes versées jusqu’à 150 000 € et 12,8 % au-delà. Avant 8 ans, pas d’abattement et taux unique de 12,80%.

Pour sa liberté de désignation des bénéficiaires du contrat

La transmission de vos biens immobiliers ou de votre épargne bancaire est soumise à des règles de droit qui ne vous laissent pas toujours la liberté de leur attribution à tel ou tel proche. Ainsi, à votre décès, si vous avez des enfants, une part minimum de votre patrimoine doit leur revenir : la moitié pour un enfant, les deux tiers pour deux, et les trois quarts pour trois ou plus. Ces règles de protection de vos descendants ne s’appliquent qu’au patrimoine inclus dans la succession. L’assurance vie est considérée, elle, comme hors de l’actif successoral. Vous pouvez donc désigner librement la ou les personnes qui bénéficieront de l’argent que vous n’aurez pas consommé à votre décès.

Pour sa fiscalité successorale attractive

Les droits à payer sur un patrimoine lors d’une succession sont fluctuants : ils dépendent du lien que vous aviez avec vos héritiers. Ainsi, un enfant peut recevoir, en exonération de droits de succession, 100 000 € de patrimoine de chacun de ses parents ; au-delà, il paiera des droits selon un barème qui augmente en fonction du montant reçu.

Par exemple, un enfant qui hérite de 200 000 € de son père, devra régler 18 194 € de droits de succession. S’il s’agissait d’un neveu, il ne bénéficierait que d’un abattement de 7 967 € ; au-delà, il réglerait 55 % de droits sur la succession de son oncle.
Pour 200 000 € reçus lors d’une succession, un neveu paie donc 105 618 € de droits de succession !

Une épargne placée en assurance vie ne subira pas ces mêmes règles fiscales ; quel que soit votre bénéficiaire, il se verra appliquer des règles fiscales identiques (pour la part des capitaux placés avant 70 ans). Elles ne le sont en effet en fonction que de la date d’ouverture du contrat, de la date des versements et de l’âge du souscripteur au moment des versements.

Besoin d’aide de la part d’un spécialiste ?

Partenaire des plus grandes compagnies d’assurances spécialisées en épargne, Math-Prévaris met à votre disposition de ses assurés des solutions pour épargner sur un contrat. À vous de choisir celle qui correspond le plus à vos projets d’épargnants.

N’hésitez pas à demander une étude personnalisée ou contactez votre conseiller Math-Prévaris.

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Quelle est la différence entre une assurance-vie et un PER (Plan d’Épargne Retraite) ?

Bien que l’assurance-vie et le Plan d’Épargne Retraite (PER) soient tous deux des produits d’épargne, ils sont conçus pour des objectifs différents. L’assurance-vie est un produit d’épargne et de placement flexible qui peut être utilisé pour constituer un capital, préparer sa retraite, ou encore transmettre un patrimoine. Les fonds investis dans une assurance-vie peuvent être accessibles à tout moment, même si des pénalités peuvent s’appliquer en cas de retrait anticipé.

En revanche, le PER est spécifiquement destiné à la constitution d’une épargne en vue de la retraite. Il se décline en plusieurs catégories, notamment le PER individuel (PERIN), le PER collectif (PERCOL), et le PER obligatoire (PERO). Les versements effectués sur un PER peuvent bénéficier d’avantages fiscaux, tels que des déductions d’impôts sur le revenu, dans la limite des plafonds légaux.

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Les questions fréquentes

Oui, avec une assurance-vie, vous avez la possibilité de récupérer votre argent à tout moment, selon les termes de votre contrat. Vous pouvez effectuer un rachat partiel ou total de votre contrat, en fonction de vos besoins financiers. Cependant, il est important de noter que des frais ou des pénalités peuvent s’appliquer en cas de rachat anticipé, surtout si votre contrat comporte des engagements à long terme. De plus, les rachats peuvent être soumis à l’impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux, selon la législation en vigueur et la durée de détention du contrat. Nous vous recommandons donc de consulter votre conseiller pour obtenir des informations spécifiques à votre situation et pour prendre des décisions éclairées concernant vos investissements en assurance-vie.

Il n’existe pas de limite légale au nombre d’assurances-vie qu’une personne peut détenir en France. Vous avez donc la liberté d’ouvrir autant de contrats d’assurance-vie que vous le souhaitez, en fonction de vos besoins financiers et de votre stratégie d’investissement. Cependant, il est important de garder à l’esprit que chaque contrat d’assurance-vie peut comporter des frais et des conditions spécifiques, et qu’il est essentiel de les examiner attentivement avant de souscrire. De plus, la diversification de vos investissements peut être une stratégie judicieuse pour répartir les risques et optimiser vos rendements.

En France, toute personne majeure ou mineure émancipée peut ouvrir un contrat d’assurance-vie. Cela inclut les particuliers, les couples mariés ou pacsés, ainsi que les personnes morales telles que les associations ou les entreprises. Les mineurs non émancipés peuvent également être titulaires d’un contrat d’assurance-vie, mais ils doivent obtenir l’autorisation de leur représentant légal.

Le bénéficiaire d’une assurance vie peut être toute personne ou entité désignée par le souscripteur dans la clause bénéficiaire du contrat. Cela peut être un membre de la famille, un ami, une association, voire plusieurs personnes répartissant le capital selon les souhaits du souscripteur. Le bénéficiaire peut être changé à tout moment par le souscripteur, sauf en cas de clause bénéficiaire acceptée par le bénéficiaire, ce qui rend le changement plus complexe.

Une clause bénéficiaire démembrée permet de désigner deux types de bénéficiaires : un usufruitier, qui percevra les revenus générés par le capital, et un nu-propriétaire, qui recevra le capital après le décès de l’usufruitier. Ce mécanisme permet d’optimiser la transmission patrimoniale, notamment en réduisant les droits de succession. C’est un dispositif complexe qui nécessite un conseil juridique approprié pour être mis en place.

L’assurance vie bénéficie d’une fiscalité spécifique en matière de transmission. Les capitaux versés aux bénéficiaires désignés sont exonérés de droits de succession jusqu’à 152 500 € par bénéficiaire pour les primes versées avant les 70 ans du souscripteur. Au-delà de ce seuil, un prélèvement forfaitaire de 20% est appliqué jusqu’à 700 000 €, puis 31,25% au-delà. Les primes versées après 70 ans sont soumises aux droits de succession, mais seulement sur la part excédant 30 500 €.